Misanthropic World
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Misanthropic World

Metal, Occultisme, Histoire...
 
AccueilPortailRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le deal à ne pas rater :
SSD interne Crucial BX500 2,5″ SATA – 500 Go à 29,99€
29.99 €
Voir le deal

 

 Etrusques

Aller en bas 
AuteurMessage
Vidar
Blackeu Viking
Vidar


Nombre de messages : 2711
Localisation : Dans la forêt d'Asgard
Date d'inscription : 13/02/2006

Etrusques Empty
MessageSujet: Etrusques   Etrusques EmptyJeu 4 Mai - 17:20

Etrusques Carte_Etrusques
Les Etrusques en Italie (VIIIe - IIIe siècle av. J.-C.)


Entre le VIIIe et le IIIe siècle av. J.-C., la civilisation étrusque, éclose en Italie centrale, a brillé d'un vif éclat et son domaine s'étendit de la plaine du Pô à la Campanie ; elle fut l'éducatrice de Rome avant d'être incorporée à l'Etat romain, qui en conserva l'héritage.



Les divers noms des Etrusques

Peu de civilisations anciennes ont soulevé autant de curiosité que la civilisation étrusque, et il subsiste autour d'elle un halo de légende et de mystère. Les hypothèses les plus contradictoires ont été émises sur les origines des Etrusques et leur vision du monde.



Cela commence par leur nom. Tusci, Etruri ou Etrusci selon les Romains, qui auraient ainsi déformé le nom que leur donnaient les Grecs : Tyrsênoi ou Tyrrhênoi. Mais les Etrusques eux-mêmes s'appelaient, semble-t-il, Rasena, nom de leur premier chef selon les uns, ou d'un peuple du Nord vivant dans les Alpes rhétiques selon d'autres, ou encore terme signifiant simplement «les hommes».


Les origines des Etrusques

Etrusques Etrusques_C%E9ramique
Céramique étrusque
Les premiers vases étaient réalisés en argile d'origine alluviale.

En Toscane
Dès l'Antiquité, les Grecs puis les Romains ont admiré, et parfois critiqué, l'originalité et l'opulence des Etrusques, tout en s'interrogeant sur l'origine de ce peuple. Hérodote les fait venir de Lydie, en Anatolie, tandis que Denys d'Halicarnasse les présente comme des autochtones.

La première proposition a pour elle l'ensemble des affinités qui existent entre la religion étrusque et celles des peuples du Proche-Orient (par exemple, l'importance de l'astrologie et de l'hépatoscopie) ainsi que de nombreux emprunts artistiques, mais les archéologues italiens ont fait justement remarquer qu'en Toscane les Etrusques se rattachent sans hiatus à leurs prédécesseurs de la civilisation villanovienne et qu'une élaboration sur place de cette civilisation était parfaitement cohérente.

La langue
Un autre problème est posé par l'interprétation de la langue étrusque qui, sans être totalement inconnue, fait cependant partie des idiomes pour lesquelles les connaissances relèvent plus de l'hypothèse que des certitudes scientifiques. Environ 12'000 inscriptions ont été recensées: l'alphabet (composé de 26 signes, tracés de droite à gauche) dérive de celui des Grecs (il se rapproche des caractères trouvés sur des stèles de l'île de Lemnos), mais les textes sont presque tous très brefs - des dédicaces, des contrats ou des épitaphes -, fragmentaires, souvent tardifs, et la grammaire et le vocabulaire présentent de grandes difficultés, car l'étrusque n'est pas une langue indo-européenne et, semble-t-il, n'a jamais été parlée ailleurs qu'en Italie du Nord et sur l'île de Lemnos, en mer Egée.

Les Etrusques ne nous sont donc connus qu'à partir des sources littéraires grecques et romaines, et que par l'étude des vestiges matériels de leur civilisation.

L'organisation politique
Le foyer des Etrusques est la Toscane, région de plaines et de bassins fertiles, mais au littoral plus ingrat, réclamant tantôt le drainage, tantôt l'irrigation. Les Etrusques se révélèrent des agriculteurs habiles, avec le souci presque maniaque de l'exactitude du bornage.

A la céréaliculture, à la viticulture et à l'élevage florissant, ils ajoutèrent un artisanat raffiné au service d'un commerce actif, servi par une construction navale qui tirait le meilleur parti des nombreuses forêts. Les mines de plomb argentifère et d'étain, mais surtout de cuivre et de fer fournirent des matières premières: Populonia, en face de l'île d'Elbe, riche en fer, fut pendant des siècles un centre métallurgique actif, où venaient s'approvisionner Grecs et Carthaginois.

La naissance de cités (lucumonies) est perceptible dès le VIII e siècle av. J.-C., comme en Grèce, et leur existence est évidente à la fin du siècle suivant. Elles se seraient constituées par regroupement de villages, sous l'action d'aristocraties rurales qui s'enrichissaient par le commerce du vin, de l'huile d'olive et des produits métallurgiques - du lingot au trépied, à la cruche ou à la casserole - et qui se réunirent en communautés politiques.
Revenir en haut Aller en bas
https://misanthropic-world.actifforum.com
Vidar
Blackeu Viking
Vidar


Nombre de messages : 2711
Localisation : Dans la forêt d'Asgard
Date d'inscription : 13/02/2006

Etrusques Empty
MessageSujet: Re: Etrusques   Etrusques EmptyJeu 4 Mai - 17:22

La civilisation étrusque


Etrusques Costume-%E9trusque
Costume étrusque


Les cités fédérées


A partir du VIIe siècle, les navires étrusques sillonnent la mer Tyrrhénienne et le golfe du Lion; les territoires des cités deviennent contigus, faisant disparaître (notamment à Murlo), à quelques exceptions près, les centres secondaires.

Une fédération de douze cités groupe Caere, Volterra, Volsinies, Tarquinia, Véies, Vulci, Clusium (Chiusi), Roselle, Vetulonia puis Populonia, Cortone, Pérouse, peut-être Arezzo - avec un sanctuaire commun dédié à Voltumne sur le territoire de Volsinies. Là se rencontraient les élites sociales des douze cités qui choisissaient, semble-t-il, un magistrat fédéral, le praetor d'Etrurie.

Mais cette ligue ne constitua jamais un véritable Etat fédéral, et les entreprises guerrières des Etrusques furent surtout le fait de cités agissant isolément. L'expansion de ce peuple, qualifiée de belliqueuse par les auteurs anciens, serait plutôt, pour nombre d'étruscologues actuels, un phénomène de conquête culturelle.

A la dodécapole toscane s'adjoignit, au VI e siècle av. J.-C., au-delà de l'Apennin, vers l'Adriatique et la plaine du Pô, une dodécapole padane (en partie mythique?) comprenant Felsina (Bologne) - qui contrôlait l'agglomération de Marzabotto et peut-être le site portuaire de Spina - et Mantoue; à ces deux cités il faudrait ajouter Modène, Parme et Melpom (Milan). En Campanie, une troisième dodécapole étrusque est mentionnée à la même époque: en plus de sa capitale, Capoue, elle rassemblait Nola, Nocera, Herculanum, Pompéi, Calatia, Sorrente, une Marcina mal localisée, et peut-être Stabies et Suessula. Le Latium fut également compris alors dans le domaine étrusque, le nom même de Rome en porte témoignage.

Sur mer, une alliance entre Caere et les Carthaginois permit, lors de la bataille d'Alalia (535 av. J.-C.), de chasser les Phocéens de Corse, mais Cumes résista et les Grecs ne purent être délogés des îles Lipari (début du V e siècle). La bataille navale de Cumes (474), qui vit la flotte étrusque vaincue par Hiéron de Syracuse, venant après la défaite d'Himère (480), subie par les Carthaginois et les Etrusques alliés, marqua le début du reflux de la puissance étrusque, contrée dans ses ambitions maritimes et bloquée par les expansions sabellique et samnite. Rome fut disputée entre Tarquinia et le roi Porsenna de Chiusi, et les Romains se libérèrent vers 475.

La splendeur des Etrusques

La période de splendeur des Etrusques (VIIIe -Ve siècle) fut marquée par la création de villes: ils impressionnèrent leurs contemporains autant en ce domaine qu'en celui de la prospérité économique. Ils adoptèrent le plan en damier «à la grecque» et accordèrent une grande importance au rituel (la disciplina) de fixation au sol du nouvel habitat: les villes étrusques sont nettement distinguées de la campagne par une limite religieuse, un sillon qui s'interrompt à l'emplacement des passages; murailles et portes monumentales, souvent tardives, permettent parfois de retrouver ces limites. Lorsque le terrain s'y prêtait, une grande rue nord-sud, le cardo, et une grande rue est-ouest, le decumanus, donnaient les axes de l'urbanisme et du cadastrage de la campagne. La cité idéale aurait dû posséder trois portes aux extrémités de ces axes: le cardo aboutissait à un sanctuaire triple adossé à l'enceinte de la ville. Ce plan régulier n'existe guère dans les plus anciennes cités, Tarquinia ou Caere (Cerveteri) par exemple, tandis que des créations plus récentes - Capoue, Spina, Marzabotto - paraissent s'y conformer.

A Rome, les accidents de la topographie ne permirent guère de l'appliquer, mais on retrouve l'enceinte sacrée, le pomerium, l'importance des portes et le sanctuaire du Capitole, dédié à trois divinités dont deux portent un nom étrusque: Junon et Minerve, associées à Jupiter; un drainage de la dépression marécageuse en contrebas de cette acropole par un grand égout, la Cloaca maxima, permit d'installer un forum, le centre politique. La population urbaine était, semble-t-il, nombreuse, et les 120 ha contenus dans l'enceinte de Caere pouvaient rassembler jusqu'à 25'000 habitants.

La société
Sur les institutions des cités étrusques durant cette période florissante, nous sommes assez mal renseignés et Rome serait le cas le mieux documenté. Chaque cité vécut sous un régime monarchique jusqu'à la fin du VI e siècle et au-delà pour certaines.

Le roi, ou lucumon, avait un pouvoir d'origine sacrée, car il était détenteur de l'art augural. Il portait une tunique à bordure pourpre, un sceptre, s'asseyait sur une chaise curule et disposait de porteurs de trompettes et de faisceaux - symboles d'un droit de commandement et de coercition - ainsi que de scribes. Mais ce roi était aussi le chef d'une des grandes familles qui constituaient la cité. La transmission du pouvoir royal était en théorie dynastique, mais les problèmes de succession et les luttes qu'ils faisaient naître devaient être fréquents, comme Rome en donne l'exemple.

Cette classe de seigneurs était accompagnée d'une foule de dépendants, à la campagne, en ville, dans les ateliers, les mines et même aux spectacles. Ces potentats locaux tenaient des annales familiales et avaient à cœur de remplir les charges publiques, ainsi que de constituer auprès d'eux un conseil rassemblant les chefs de leurs familles. Les cités étrusques ne paraissent pas avoir connu, du moins à cette époque, d'assemblée du peuple.

Dans cette société aristocratique, les femmes participaient à la vie publique de leurs époux, figurant à leurs côtés dans les repas d'apparat et jouant parfois, comme Tanaquil - la femme du roi Servius Tullius - à Rome, un rôle dans les problèmes de succession.

Des mutations au déclin
L'Etrurie apparaît bien intégrée dans les échanges méditerranéens et dans ceux qui se développent vers l'Europe alpestre et celtique jusqu'à la fin du Ve siècle, mais ce siècle fut précisément celui des mutations.

Dans les cités étrusques enrichies par le commerce (souvent organisé selon le principe de l'emporium, concession aux étrangers en échange d'une dîme) apparaissent dès l'époque archaïque des immigrés, parfois grecs, qui ne s'intègrent pas aux structures gentilices, tandis que celles-ci tendent à s'émietter en unités plus petites. Dans les nécropoles - par exemple à Caere -, les tombes se multiplient et s'appauvrissent. Les cités conservent une classe aristocratique mais la classe moyenne, plus nombreuse, fait passer le régime de la monarchie à la république, avec des collèges annuels de magistrats élus (préteurs, zilaths, consuls), et la révolution de 509 dans une Rome encore étrusque ne paraît pas être un fait isolé.

D'autre part, à la suite de la bataille de Cumes (474), les Syracusains procèdent à la refondation de Naples (470) et ravagent les côtes de la Toscane en 453 et 384. Capoue devient samnite vers 421. La mer Tyrrhénienne n'est plus une mer étrusque, et Tarquinia et Caere, appauvries, deviennent des républiques avant tout terriennes. L'Etrurie padane, en revanche, est en plein essor et, par les ports d'Hadria puis de Spina, commerce activement avec Athènes; Felsina connaît une grande prospérité et les cités de la Toscane intérieure, jusqu'au haut Tibre, en profitent: Chiusi, Cortone, Pérouse, Arezzo, Volsinies, Fiesole, Volterra ne marquent aucun déclin. Mais l'échec d'Athènes en Sicile, malgré l'envoi d'un contingent étrusque, puis l'effacement temporaire de la grande cité égéenne à partir de 411 contrarient profondément les échanges commerciaux, tandis que les Etrusques sont pris en tenaille entre le danger gaulois au nord et la conquête romaine au sud.

Dans les régions padanes, les Etrusques cohabitaient depuis longtemps avec des peuples celtes, mais les Gaulois arrivaient toujours plus nombreux, tout en se montrant peu enclins à adopter la civilisation étrusque. Melpom devient Milan (396?), Felsina devient Bologne (350?), tandis que Mantoue a été perdue dès 400. Toute la façade sur l'Adriatique de l'Etrurie intérieure disparaît de la sphère d'influence étrusque.

Rome, qui a résisté au roi Porsenna, se libère de toute hégémonie étrangère, étend son territoire, s'empare de Véies en 396 et la détruit tout en s'assurant l'alliance de Caere. Le raid gaulois de 390 (ou 386), qui prit possession de la Ville, n'interrompt guère son dynamisme, aux dépens des Latins, des Samnites ou des Etrusques: ceux-ci, ligués sous la direction de Tarquinia, sont défaits au bout de sept ans en 351. Durant presque un siècle, sporadiquement, les Etrusques résistent, mais, profitant de luttes internes entre plèbe et patriciat dans la cité toscane, les Romains imposent leur ordre à Arezzo au plus tard en 294; l'année suivante, c'est Roselle qui est prise et entièrement détruite, avant que vienne le tour de Volsinies (Orvieto), prise et détruite en 264, ses habitants étant déportés sur un nouveau site indéfendable, Bolsena.

Vulci et Caere sont amputées d'une partie de leurs territoires par l'installation de plusieurs colonies romaines. A l'exception de quelques mouvements sociaux ou politiques mal connus, l'Etrurie fait désormais partie du système «impérial» romain et entre tout entière dans la cité romaine à l'issue de la guerre des Alliés (88 av. J.-C.): parmi les magistrats romains, dès le II e siècle, apparaissent des consuls issus de familles étrusques.
Revenir en haut Aller en bas
https://misanthropic-world.actifforum.com
Vidar
Blackeu Viking
Vidar


Nombre de messages : 2711
Localisation : Dans la forêt d'Asgard
Date d'inscription : 13/02/2006

Etrusques Empty
MessageSujet: Re: Etrusques   Etrusques EmptyJeu 4 Mai - 17:23

La religion des Etrusques


Etrusques Religion_etrusque
Divinité étrusque
Au-dessus de des divinités étrusques siégeaient d'autres puissances, personnification du Destin ou des divinités du monde souterrain. Il semble qu’il ait eu également des génies ailés.


C'est dans le domaine de la religion que la moisson documentaire est le plus riche grâce à l'abondance des témoignages matériels - peintures et sculptures notamment - et, surtout, par tout ce qu'en conserva la religion des Romains (c'est sous l'empereur Claude, considéré comme le premier des étruscologues, que la divination par les entrailles des victimes entra dans leur arsenal religieux). Certaines précautions s'imposent: le témoignage des riches tombeaux ne vaut que pour la classe aristocratique, et cette religion, très accueillante pour les images et les rites grecs, a constamment évolué, tout comme la religion romaine, qui fit un tri dans cet héritage.

Les Etrusques prétendaient avoir bénéficié de révélations divines, de l'enfant Tagès à Tarquinia, des nymphes Bégoé à Chiusi et Egérie à Rome. Leur panthéon avait pour particularité de comporter des collèges divins, comme les douze dii consentes, les dii involuti, conseillers du dieu suprême Tinia-Jupiter, les neuf novemsiles (capables de lancer la foudre), les lares, les pénates, les mânes. Le dieu fédéral était peut-être une forme locale de Tinia-Jupiter, lui-même parfois dieu marin comme Nethuns-Neptune.

S'y ajoute Uni-Junon, honorée à Véies, à Faléries, à Pyrgi (le port de Caere), tout comme sur le Capitole de Rome, où elle rejoint Menerva-Minerve. De nombreuses divinités sont d'ailleurs étroitement comparables à des dieux grecs, tels Apulu-Apollon, Turms-Hermès, Fufluns-Dionysos, Sethlans-Héphaïstos, Turan-Aphru-Aphrodite, Aritimi-Artémis, Hercle-Héraclès, et certaines divinités topiques ne sont peut-être que les noms locaux de dieux plus universels: comme les Romains, les Etrusques apparaissent plus soucieux de comprendre les dieux que de connaître leur nature exacte.

D'où l'importance de la divination, art d'interpréter les signes qui manifestent la volonté divine: foudre, vol des oiseaux, taches sur le foie ou d'autres organes internes des animaux sacrifiés, mais aussi prodiges tels que grondements telluriques ou aériens, naissances monstrueuses. Des spécialistes, les haruspices, expliquent ces signes, mais ce ne sont pas des prêtres. Les fonctions sacerdotales sont exercées par les chefs des grandes familles gentilices, le roi, et les collèges de magistrats qui apparurent à ses côtés et lui succédèrent. Le rite se déroule dans le silence et le recueillement; il paraît comprendre les éléments habituels du paganisme, avec invocations, prières, offrandes, libations et sacrifices, sanglants ou non, mais ce sont surtout les pratiques funéraires aristocratiques qui sont attestées.

La religion des petites gens demeure inconnue avant le III e siècle: les ex-voto retrouvés dans les sanctuaires sont souvent des pièces anatomiques qui révèlent avant tout des désirs de guérison et de procréation.

Les temples sont connus par la description que fit Vitruve, à l'époque d'Auguste, du temple type et par l'étude des fondations de plusieurs d'entre eux. Comme les maisons, le temple est construit en bois et décoré de terre cuite; c'est peut-être pour limiter les dégâts dus à l'humidité qu'il est installé sur un podium de moellons et possède un toit à double pente largement débordant. Ce temple est fait pour être vu de face, ce que soulignent l'escalier de façade et le portique à colonnade qui lui fait suite; il peut abriter, comme le Capitole de Rome, plusieurs dieux distincts à la fois, et sa décoration (acrotères sommitaux, statues extérieures ou intérieures, plaques de revêtement) emprunte beaucoup, tout comme la décoration des tombes, au langage iconographique contemporain des Grecs.
Revenir en haut Aller en bas
https://misanthropic-world.actifforum.com
Contenu sponsorisé





Etrusques Empty
MessageSujet: Re: Etrusques   Etrusques Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Etrusques
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Misanthropic World :: Histoires :: Antiquité-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser